Les Douze Enfants de Paris est incontestablement de ces romans qui ne peuvent pas laisser indifférent. Epique, flamboyant, violent, extrême, cru… Du pur Willocks…
Les douze enfants de Paris, le dernier chef-d’œuvre de Tim Willocks.
A la veille de la Saint-Barthélemy, un homme arrive à Paris à la recherche de sa femme enceinte. Une enquête épique, aux questionnements philosophiques.
On est partout à la fois. Au Louvre, envahi par les nobles huguenots venus fêter le mariage de la soeur du roi, Marguerite de Valois, avec son cousin Bourbon, Henri de Navarre. Dans les bas-fonds de Paris, les cours, un « labyrinthe de ruelles à peine assez larges pour les charrettes à bras ». Dans un carrosse avec le cardinal de Retz. Auprès d’Ambroise Paré, le chirurgien du roi. A cheval avec le duc de Guise, « champion du Paris catholique », « ivre de sang et de gloire ». Dans les tavernes étudiantes, près du collège d’Harcourt, « une longue rangée de porcheries, bondées et vociférantes », où les conversations s’embrasent à propos de l’attentat manqué contre Gaspard de Coligny, « le démagogue huguenot et grand amiral de France ». On est au soir du 22 août 1572, la veille de la Saint-Barthélemy. On court d’un lieu à l’autre, le roman a de la voix et du souffle et de l’ampleur, il fait vibrer les couleurs, résonner les cris et les clameurs, exploser les fureurs et les puanteurs. Il fait surgir les images, donne de la chair à la mémoire. Neuf cents pages pour mettre en scène trente-six heures de l’Histoire de France.
Après La Religion, premier volume d’une trilogie noire, qui racontait le siège de Malte par Soliman le Magnifique en mai 1565, Tim Willocks met ses pas dans ceux de Dumas, l’auteur de La Reine Margot, pour donner sa vision de la tragédie de la Saint-Barthélemy. Et quelle vision ! Formidablement documentée, érudite même, c’est un opéra d’une extraordinaire violence, un geste romanesque d’une dimension à couper le souffle, épuisant et cru. Willocks joue en maître des changements de rythme et de focale, multiplie les personnages, des plus grands aux plus humbles, pénètre dans les ruelles et les maisons, au plus près des corps. Chirurgien de formation, ceinture noire de karaté, il n’a pas son pareil pour décrire les coups, les dégâts d’un poignard, les blessures et la mort. Son portrait du Paris du XVIe siècle, sale, grouillant, vénéneux, du Louvre, où les grandes familles de la noblesse sont peintes comme autant de criminels cupides et jaloux, est aussi vif que saisissant.
Dans La Religion, Willocks avait raconté la rencontre de Mattias Tannhauser, mercenaire, marchand d’armes et d’épices, et de Carla de La Pénautier, comtesse française qu’il allait épouser. Au début de ce nouveau roman, Tannhauser arrive à Paris à la recherche de sa femme, sur le point d’accoucher. Alternant leurs points de vue, il croise deux visions, masculine et féminine, confronte la mort à la vie, l’amour à la folie meurtrière, l’enfer à l’espérance. Loin de se complaire dans l’horreur, il interroge le drame qu’il met en scène et donne à son roman une passionnante dimension philosophique et spirituelle.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/les-douze-enfants-de-paris,110473.php#sv2zWlVjYh4pXYpS.99
A la veille de la Saint-Barthélemy, un homme arrive à Paris à la recherche de sa femme enceinte. Une enquête épique, aux questionnements philosophiques.
On est partout à la fois. Au Louvre, envahi par les nobles huguenots venus fêter le mariage de la soeur du roi, Marguerite de Valois, avec son cousin Bourbon, Henri de Navarre. Dans les bas-fonds de Paris, les cours, un « labyrinthe de ruelles à peine assez larges pour les charrettes à bras ». Dans un carrosse avec le cardinal de Retz. Auprès d’Ambroise Paré, le chirurgien du roi. A cheval avec le duc de Guise, « champion du Paris catholique », « ivre de sang et de gloire ». Dans les tavernes étudiantes, près du collège d’Harcourt, « une longue rangée de porcheries, bondées et vociférantes », où les conversations s’embrasent à propos de l’attentat manqué contre Gaspard de Coligny, « le démagogue huguenot et grand amiral de France ». On est au soir du 22 août 1572, la veille de la Saint-Barthélemy. On court d’un lieu à l’autre, le roman a de la voix et du souffle et de l’ampleur, il fait vibrer les couleurs, résonner les cris et les clameurs, exploser les fureurs et les puanteurs. Il fait surgir les images, donne de la chair à la mémoire. Neuf cents pages pour mettre en scène trente-six heures de l’Histoire de France.
Après La Religion, premier volume d’une trilogie noire, qui racontait le siège de Malte par Soliman le Magnifique en mai 1565, Tim Willocks met ses pas dans ceux de Dumas, l’auteur de La Reine Margot, pour donner sa vision de la tragédie de la Saint-Barthélemy. Et quelle vision ! Formidablement documentée, érudite même, c’est un opéra d’une extraordinaire violence, un geste romanesque d’une dimension à couper le souffle, épuisant et cru. Willocks joue en maître des changements de rythme et de focale, multiplie les personnages, des plus grands aux plus humbles, pénètre dans les ruelles et les maisons, au plus près des corps. Chirurgien de formation, ceinture noire de karaté, il n’a pas son pareil pour décrire les coups, les dégâts d’un poignard, les blessures et la mort. Son portrait du Paris du XVIe siècle, sale, grouillant, vénéneux, du Louvre, où les grandes familles de la noblesse sont peintes comme autant de criminels cupides et jaloux, est aussi vif que saisissant.
Dans La Religion, Willocks avait raconté la rencontre de Mattias Tannhauser, mercenaire, marchand d’armes et d’épices, et de Carla de La Pénautier, comtesse française qu’il allait épouser. Au début de ce nouveau roman, Tannhauser arrive à Paris à la recherche de sa femme, sur le point d’accoucher. Alternant leurs points de vue, il croise deux visions, masculine et féminine, confronte la mort à la vie, l’amour à la folie meurtrière, l’enfer à l’espérance. Loin de se complaire dans l’horreur, il interroge le drame qu’il met en scène et donne à son roman une passionnante dimension philosophique et spirituelle.
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A la veille de la Saint-Barthélemy, un homme arrive à Paris à la recherche de sa femme enceinte. Une enquête épique, aux questionnements philosophiques.
On est partout à la fois. Au Louvre, envahi par les nobles huguenots venus fêter le mariage de la soeur du roi, Marguerite de Valois, avec son cousin Bourbon, Henri de Navarre. Dans les bas-fonds de Paris, les cours, un « labyrinthe de ruelles à peine assez larges pour les charrettes à bras ». Dans un carrosse avec le cardinal de Retz. Auprès d’Ambroise Paré, le chirurgien du roi. A cheval avec le duc de Guise, « champion du Paris catholique », « ivre de sang et de gloire ». Dans les tavernes étudiantes, près du collège d’Harcourt, « une longue rangée de porcheries, bondées et vociférantes », où les conversations s’embrasent à propos de l’attentat manqué contre Gaspard de Coligny, « le démagogue huguenot et grand amiral de France ». On est au soir du 22 août 1572, la veille de la Saint-Barthélemy. On court d’un lieu à l’autre, le roman a de la voix et du souffle et de l’ampleur, il fait vibrer les couleurs, résonner les cris et les clameurs, exploser les fureurs et les puanteurs. Il fait surgir les images, donne de la chair à la mémoire. Neuf cents pages pour mettre en scène trente-six heures de l’Histoire de France.
Après La Religion, premier volume d’une trilogie noire, qui racontait le siège de Malte par Soliman le Magnifique en mai 1565, Tim Willocks met ses pas dans ceux de Dumas, l’auteur de La Reine Margot, pour donner sa vision de la tragédie de la Saint-Barthélemy. Et quelle vision ! Formidablement documentée, érudite même, c’est un opéra d’une extraordinaire violence, un geste romanesque d’une dimension à couper le souffle, épuisant et cru. Willocks joue en maître des changements de rythme et de focale, multiplie les personnages, des plus grands aux plus humbles, pénètre dans les ruelles et les maisons, au plus près des corps. Chirurgien de formation, ceinture noire de karaté, il n’a pas son pareil pour décrire les coups, les dégâts d’un poignard, les blessures et la mort. Son portrait du Paris du XVIe siècle, sale, grouillant, vénéneux, du Louvre, où les grandes familles de la noblesse sont peintes comme autant de criminels cupides et jaloux, est aussi vif que saisissant.
Dans La Religion, Willocks avait raconté la rencontre de Mattias Tannhauser, mercenaire, marchand d’armes et d’épices, et de Carla de La Pénautier, comtesse française qu’il allait épouser. Au début de ce nouveau roman, Tannhauser arrive à Paris à la recherche de sa femme, sur le point d’accoucher. Alternant leurs points de vue, il croise deux visions, masculine et féminine, confronte la mort à la vie, l’amour à la folie meurtrière, l’enfer à l’espérance. Loin de se complaire dans l’horreur, il interroge le drame qu’il met en scène et donne à son roman une passionnante dimension philosophique et spirituelle.
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Huit déjà déjà depuis La Religion, premier opus d’une sublime trilogie qui nous plongeait en plein Moyen-Âge, sur les pas de Matthias Tannhauser, marchand d’armes et d’opium, dans l’enfer du grand siège de Malte en 1565.
Dans Les Douze Enfants de Paris, Willocks nous emmène sept années plus tard, le 22 août 1572. Tannhauser arrive à Paris à la recherche de sa femme, Carla, enceinte, qui a été invitée pour ses talents de musicienne aux noces de Marguerite de Valois et Henri de Navarre.
L’histoire se joue en 36 heures et plus de 900 pages. Une nuit et un jour d’enquête, de furie, de sang et d’horreur, les Douze Enfants de Paris nous plonge dans les entrailles puantes d’un Paris monstrueux qui dévore les corps et les âmes, pendant le pire massacre des guerres de religion en France. Car le 22 août 1572, c’est la veille de la Saint-Barthélemy…
« C’est la folie qui gouverne cette ville. Une fièvre sanglante dans tous les sens du terme : née dans le sang, vécue dans le sang, pour la joie de répandre le sang. »
Tim Willocks | Les Douze Enfants de Paris
Willocks déploie une fois de plus son envoûtant talent d’écriture. Le rythme de sa narration emporte tout comme un torrent que rien ni personne ne peut arrêter. Les Douze Enfants de Paris propose un récit atroce, grandiose, réaliste à l’extrême et romanesque à faire saigner les cœurs les plus endurcis.
Avec Les Douze Enfants de Paris, Tim Willocks nous prend par la nuque et nous traîne de gré ou de force dans le dédale putride des rues parisiennes, entre Louvres et bas-fonds, parmi les sergents de ville corrompus, les soudards pour qui la vie n’est rien, les putains qui valent moins que rien, les voleurs qui veulent tout, les fanatiques pour qui rien d’autre ne vaut que leur vérité – fut-elle des plus abjectes – et les nobles qui croient qu’un droit divin les exonère de tout… Le pire de la lie de l’humanité n’est pas là où on s’attendrait à le trouver…
Vous lirez et relirez Les Douze Enfants de Paris pour sa dimension historique, philosophique, ésotérique et épique.
Il y a du magistral dans ces lignes magnifiques.
Les douze enfants de Paris dans la presse
Le Monde :
Les Douze Enfants de Paris « […] ce plaisir fou, mi-sauvage mi-civilisé, de plonger dans les entrailles fumantes de la littérature. »
Télérama :
Les Douze Enfants de Paris « Tim Willocks met ses pas dans ceux de Dumas, l’auteur de La Reine Margot, pour donner sa vision de la tragédie de la Saint-Barthélemy. Et quelle vision ! Formidablement documentée, érudite même, c’est un opéra d’une extraordinaire violence, un geste romanesque d’une dimension à couper le souffle, épuisant et cru. »
Le Figaro :
Les Douze Enfants de Paris : « Toute tentative de sortie est vaine. Le lecteur est ferré dès la première page.[Le] talent narratif de l’auteur qui nous tient, tapi d’effroi, dans un Paris scrupuleusement reconstitué jusqu’au dénouement final. On croyait connaître la Saint-Barthélemy mais nous n’en savions rien. »
Le pitch de l’éditeur :
Les Douze Enfants de Paris : « 23 août 1572. De retour d’Afrique du Nord, Mattias Tannhauser, chevalier de Malte, arrive à Paris pour y retrouver sa femme, la comtesse Carla de La Pénautier, qui, enceinte, est venue assister au mariage de la sœur du roi avec Henri de Navarre. […] La tentative d’assassinat contre l’amiral de Coligny, chef des réformistes, a exacerbé les tensions entre catholiques et protestants. […] Mattias […] comprend très vite que le sang va couler dans les rues de Paris. […] Plongé dans un océan d’intrigues et de violences, Mattias n’aura que quelques heures pour tenter de retrouver [sa femme] et [de] la sauver d’un funeste destin. […] »
Les Douze Enfants de Paris | The Twelve Children of Paris | De Tim Willocks | Traduit de l’anglais par Benjamin Legrand | Ed. Sonatine | 938 p., 24 €.
Les Douze Enfants de Paris Les Douze Enfants de Paris
Les Douze Enfants de Paris | Tim Willocks
[psp_rs_article name=”Les douze enfants de Paris | Tim Willocks” url=”http://historyweb.fr/les-douze-enfants-de-paris/” image=”http://historyweb.fr/wp-content/uploads/2014/12/histoire-historyweb-douze-enfants-de-paris-tim-willocks-2.png” description=”Les Douze Enfants de Paris, le dernier opus du génial Tim Willocks. Une suite épique et sombre du best Seller La Religion. Un roman historique exceptionnel.” author=”Bruno Perrin-Turenne”]